Voie de conduction accessoire, c’est-à-dire surnuméraire, congénitale (présente dès la naissance, sinon dès la conception) mais par héréditaire. Cette voie de conduction relie les oreillettes aux ventricules, sans passer par le nœud atrio-ventriculaire et le faisceau de His et constitue plusieurs courts-circuits potentiels avec la voie normale. Les patients porteurs d’un faisceau de Kent sont donc exposés à différentes anomalies du rythme cardiaque, plus ou moins dangereuses : syndrome de Wolff-Parkinson-White, tachycardie jonctionnelle, maladie de Bouveret.

Laisser un commentaire

Your email address will not be published. Required fields are marked *

EffacerSoumettre